MiniMax s’inscrit dans une recherche sur l‘interactivité au théâtre. Ce travail interroge le corps et l’action du spectateur par le biais de la technologie.
Le dispositif technique et scénographique du spectacle s’appuie sur la dramaturgie du roman : Loterie Solaire parle de téléprésence ; de manipulation à distance et de réseau, de stratégie.
En collaboration avec le LudoMaker, fablab dédié au jeu de l’université Paris XIII et Nicolas Pineiros game-designer, Mathilde Gentil a exploré différentes mécaniques de jeu offertes par l’univers du roman et par le contexte de son adaptation, à savoir l’espace théâtral.
Après ces expérimentations, le Minitel et le retro-gaming sont ainsi la réponse technique au projet esthétique et ludique de la mise en scène.